Jeudi 4 août 2016 / Cours Saint-Pierre
Premier concert à 20h :
Imperial Pulsar
Jazz burkinabé
Réunissant des musiciens créateurs et improvisateurs parmi les plus actifs de la scène française (ils participent aux ensembles musicaux les plus novateurs tels que le Surnatural Orchestra, Tous Dehors, Jean Louis, le collectif Coax…), l’Imperial Quartet puise dans tous les recoins de la sphère musicale actuelle. Avec l’Imperial Pulsar, c’est du côté des rythmiques mandingues que le quartet est allé se ressourcer en invitant les percussionnistes burkinabés Ibrahima Diabaté et Oumarou Bambara avec la pulsation comme dénominateur commun. S’ensuit un concert porté par une rythmique souple, généreuse, solide et toujours en alerte, où les musiciens font appel à l’ensemble des saxophones (du basse au sopranino), offrant une palette sonore unique et originale.
Ibrahima Diabaté : dundun, tamani, goni // Oumarou Bambara : djembe, tamani, balafon // Antonin Leymarie : batterie, objets, percussions // Joachim Florent : contrebasse, basse électrique // Gérald Chevillon : saxophones basse, ténor, soprano // Damien Sabatier : saxophones baryton, alto, sopranino
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Deuxième concert à 21h30 :
Fofoulah
Groove africano-londonien
Groupe issu de la fine fleur de la scène londonienne (certains musiciens jouent chez Robert Plant et Justin Adams), Fofoulah incarne joyeusement le cosmopolitisme de sa ville. Avec en son cœur les rythmes des tambours Sabar, percussions traditionnelles de Gambie et du Sénégal, la musique de Fofoulah fait exploser les frontières avec ses influences afro-rock et jazz, ses éléments de musique électronique, son chant wolof, sa danse de transe et ses improvisations. Fofoulah, « c’est là » en wolof, langue du Sénégal, c’est une love affair entre Londres et l’Afrique de l’Ouest qui accouche d’un groove volcanique, chatoyant et totalement irrésistible.